Pafpif 23 septembre 2010 à 22:36
7%... ridicule, c'est au moins 20% de fond propres qu'il aurait fallu avoir imposé!
ok, on aurait eu moins de crédit à court terme, mais cela aurait eu un effet de lissage sur les crises plus que bénéfique...

Malheureusement, tant que les banques sauront qu'elles auront dans tous les cas un prêteur en dernier ressort (banque central/état/ et citoyen par impôt d'inflation), on se tapera des trucs aussi fous que le système bancaire actuel, sans mesure réelle de risque.

Winston Smith : misanthrope 22 septembre 2010 à 15:58
je sais plus quoi dire, on a tellement déjà tout dit et redit, des mesurettes, du foutage de gueule, rdv à la prochaine crise.

Jerome F. 21 septembre 2010 à 12:25
Les banques se régulent elles-même. C'est juste absurde. Et les diplomates, les ministres et autres députés français et européens, ils servent à quoi?

La république française et/ou l'Europe doivent reconquérir le pouvoir de règlementer la finance qu'elles ont abandonné. Ceci passe forcement par un contrôle des changes. Je ne vois aucune autre solution.

punaiz 20 septembre 2010 à 17:07
C'était pas la solution présentée depuis le début par Obama, et fustigée par les Européens (et le président Français en tête)?

Un petit suivi de ce qu'il s'est passé entre la conférence de presse ou La France déclare "nous ne nous contenterons pas de mesurettes" et maintenant ou notre voix semble avoir si peu porté serait aussi un éclairage intéressant.

Nyoute 20 septembre 2010 à 13:52
Merci pour ce papier. Tout ça donne vraiment envie d'avoir une émission d'@si sur toutes ces questions. Je regrette d'ailleurs qu'on ait [s]si peu[/s] pas entendu parler des "économistes atterrés" et de ce qu'ils ont à nous dire.

Irfan 20 septembre 2010 à 13:09
Encore un beau papier, merci Dan pour ce travail construit ! Outre l'excellent Lordon, à regarder aussi pour ceux qui en ont le temps et l'envie, le blog de Paul Jorion.