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Eric
LE MONDE, ET LA NOTE-MYSTÈRE DE NKM
Quand Pierre Bergé proclame son soutien à Béatrice Gurrey, est-ce Pierre Bergé copropriétaire du Monde ou Bergé Pierre membre du comité de soutien d'Anne Hidalgo ? -
Monsieur X
C'est assez révélateur ce tournant sur l'écologie. Le Monde est le champion de la cause du réchauffement du à l'homme. Si on partage leur ligne, l'urgence à préserver notre espèce supplante le reste. Il faut croire que les gens qui publiaient tout ces articles (je parle des propriétaires du journal, pas des journalistes) ne sont eux guère pas totalement convaincus. -
ReOpen911
[quote= Environnement, social, économie… Le Monde est-il en train de changer de ligne éditoriale ?]
Est-ce qu'on peut espérer un peu plus d'ouverture d'esprit sur ce débat ?
http://www.reopen911.info/2270.html -
Anabase
"Contactés par @si, Louis Dreyfus, le patron du groupe Le Monde, Natalie Nougayrède, directrice du journal et Vincent Giret, directeur délégué des rédactions, sont restés injoignables."
Des journalistes qui n'ont rien à dire sur leur journal , c'est un comble comme on dit dans les blagues Carambar. Les sites d'information vont pouvoir recruter à volonté. Vous avez travaillé au Monde ? tenez , prenez un balai et faites briller le balatum (j'aime bien siter des marques, j'suis snob). -
Lucas Taïeb
"Le journal deviendrait de plus en plus libéral" : nooooon, pas possible !!! Quel scoop !
Blague à part, chouette article. :) -
Pierre38330
« "transformer une cinquantaine de postes et d'organiser un large projet de mobilité." Ainsi, dans chaque service, la direction a "identifié des thématiques majeures et des domaines indispensables". Des postes "généralistes seront ainsi créés pour plus de souplesse, plus de réactivité, moins de traitement institutionnel et enfin de mettre en place ou de renforcer des équipes de deskeurs / reporters orientés web." »
Ainsi va toute chair… -
BuboBubo
Il faut arrêter de parler d'un "tournant libéral" du Monde, ça n'a plus de sens aujourd'hui ... ce tournant a déjà été bien franchi avec le directoire Minc/Plenel/Colombani. Le départ d'Hervé Kempf n'a été que logique, il faut voir la teneur des éditos pro-gaz de schistes qui ont été commis, notamment par feu Izraelewicz, avant même que les lobbyistes atteignent Montebourg.
Il faut bien admettre qu'en termes de platitudes journalistiques et d'adhésion aux discours des puissants, le Monde donne le la depuis une sacrée paire d'années déjà ... -
evemarie
Les journaleux du Monde s'aperçoivent qu'ils travaillent pour un journal libéral, qu'ils écrivent des analyses libéral , que les ouvriers qu'ils moquaient ne sont pas des plouc, que traiter les gens d'assistés alors que bcp ne touchent que 460 euro/ mois , c'est immorale ...
Ca fait depuis 81 que le virage est pris et 10 ans qu'ils sont a fond a droite . C'est quoi le niveau d'études pour être journaliste ? ... ben on dirait pas . '
Ca doit être flippant de ne plus être privilégier , d' avoir peur pour leur job, pourtant avec toutes ses études très chère que les cons d'ouvrier leurs payent , ils auraient du s'en rendre compte que tout devenais comptable ,mais non , ils ont soutenu les fermetures d'usine, le gouv, les pactes pour les entreprises à 100 milliard (1/3 du budget de l'état pour un an ) ...
Et nous les citoyens on aimeraient arrêter de payer avec nos impôts vos feuille de choux , on paye de la vrai presse sur internet et ca nous conviens , les journaux papiers sont du niveau Métro (journal gratuit) . -
Tab
Qui vit par le liberalisme périra par le liberalisme. -
LolranLenz
Vous faites référence à l'affaire Kempf. Les émissions qu'il y a eu avec Hervé Kempf ont toutes été intéressantes, et j'ai l'impression que la question de l'écologie et des médias n'a pas de vrai traitement journalistique, sur ce site ou ailleurs. Je me souviens de débats intéressants sur cette question dans l'émission la Ligne Jaune notamment. Actuellement, j'ai l'impression que seul Michel de Pracontal de Mediapart et Sylvestre Huet de Libération s'occupent de ses questions assez régulièrement. Avec une diminution de la partie "Planète" du Monde, ces questions vont être encore moins bien traitées, quantitativement et qualitativement.
Pensez-vous qu'un partenariat serait possible avec Kempf pour Arrêt sur Images ? C'est l'un des seuls journalistes d'investigation à vraiment travailler sur ces questions et à avoir un recul théorique et pratique sur de nombreux débats (comment est traité le réchauffement dans les médias, l'inégalité des débats sur le nucléaire)... -
Maud
Aucun homme d'affaires sérieux n'a jamais investi dans la presse pour faire de l'argent (Françoise Giroud en plaisantait déjà il y a 30 ans). Avoir de l'influence, raisons idéologiques sont les véritables motivations. Que ces messieurs ne jouent pas les étonnés des pertes dans le journal qu'ils ont investis, surtout à l'heure du numérique où la presse papier se porte de plus en plus mal. IIs ont acquis une marque pour en faire un outil au profit de leur cause. La presse française ne s'est jamais distinguée par sa qualité dans le monde. Un seul titre était (et encore il y a longtemps) considéré comme un journal de référence incontournable lu par toutes les tendances confondues par ceux que l'information intéressait vraiment. Le Monde joue encore sur cette notoriété et c'est la raison de leur acquisition. Ne pleurons pas sur un titre qui n'est plus qu'un souvenir du passé et dont le fond n'existe plus même s'il peut encore en leurrer quelques uns. Les titres qui oublient leur mission d'informer honnêtement et qui ne sont que des outils de propagande masquée on en a tant qu'on veut. -
MasterTigrou
"Nous avons lancé une bouée de sauvetage et vous êtes remontés sur le bateau, avait alors expliqué Bergé. Force est de constater que le bateau prend l’eau de nouveau. Il va falloir écoper". Précisant ensuite qu’il "n’avait pas envie de parler de plan social" et qu’il n’était pas un spécialiste des licenciements, il avait demandé à Dreyfus et Nougayrède "d’avoir du courage".
Amusant quand on sait que Bergé a financé un temps Vacarme, revue de l'extrême-gauche intello-universitaire.
Il faut donc faire un plan social, mais Bergé se refuse à en parler lui-même, et préfère refiler la patate chaude à ses associés.