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consensus 39
Bon, il reste encore Dominique Seux, Jean marc Sylvestre, Guillaume Roquette, Yves Calvi, Olivier Mazerolle, Eric Brunet, Natacha Polony, Sophie De Menthon, FOG, Christophe Barbier, l'excellent Goddet ...pour nous défendre face à ces hordes de gauchistes qui viennent salir dans ce forum un homme qui su lors de chacune de ses interventions et dans la gestion de son journal affirmer une idéologie sans faille, pétrie de bon sens, n'en déplaise à tous ceux qui veulent continuer à dépenser l'argent public et assister les plus paresseurs des peuples européens et la plupart de nos concitoyens, il nous reste encore de nombreux guides spirituels pour nous conduire vers la lumière libérale et un capitalisme joyeux. -
Stéphane-old
"Dommage qu’il soit mort trop tôt
notre guillotine n’aurait jamais si bien fonctionné
Heureusement qu’il nous reste des banquiers des généraux
des députés des évêques" -
Arnaud Romain
Allez, au passage, une petite citation du Grand ami de Mr Izraelevicz, le Sieur Kessler :
Adieu 1945, raccrochons notre pays au monde !
Par Denis Kessler, Challenges, 4 octobre 2007
Le modèle social français est le pur produit du Conseil national de la Résistance. Un compromis entre gaullistes et communistes. Il est grand temps de le réformer, et le gouvernement s’y emploie.
Les annonces successives des différentes réformes par le gouvernement peuvent donner une impression de patchwork, tant elles paraissent variées, d’importance inégale, et de portées diverses : statut de la fonction publique, régimes spéciaux de retraite, refonte de la Sécurité sociale, paritarisme...
A y regarder de plus près, on constate qu’il y a une profonde unité à ce programme ambitieux. La liste des réformes ? C’est simple, prenez tout ce qui a été mis en place entre 1944 et 1952, sans exception. Elle est là. Il s’agit aujourd’hui de sortir de 1945, et de défaire méthodiquement le programme du Conseil national de la Résistance ! (...)
J'espère qu'il avait pris conseil auprès du directeur du Monde.... -
Varlin
Emmanuel Berretta, du Point, n'est pas très confraternel, qui rappelle qu'Izraelewicz était contesté par la rédaction du Monde.
Un commentaire (fielleux, bien sûr) suivant l'article de Berretta :
"Un homme de valeurs (financières) et de convictions est parti. Cet ami des grands patrons n'a sans doute pas supporté les déchirements de l'UMP, qui lui ont fendu le cœur. Le MEDEF perd un ami en même temps qu'un défenseur des valeurs libérales. Que ce fervent défenseur du capitalisme et du libéralisme exacerbé repose en paix. Ce soir, une grande soirée est organisée pour la sortie du DVD des Nouveaux chiens de garde. À cette occasion, sera remise la laisse d'or du chien de garde de l'année. Malheureusement, Erik Izraelewicz, qui aurait mérité cent fois ce trophée, ne pourra pas participer. Peut-être pourrait-on lui décerner cette récompense prestigieuse à titre posthume ?
http://www.acrimed.org/article3935.html
http://www.acrimed.org/article3914.html " -
AirOne
En même temps, c'est le jeu, on peut dire du mal des morts avant qu'ils le soient, ou après quand on rentre chez soi, mais entre deux, c'est mal vu... -
Yvonne Schmitt
Abonnée au Monde depuis 1969 j'ai apporté dès ce matin sous un article du Monde qui évoquait le concert de louanges après le décès de M.Israelewicz un commentaire critique sur l'éditorialiste sans nuance et empli de certitudes en matière économique, et si nous avons été peu nombreux parmi les lecteurs du Monde à apporter ce sentiment, ( beaucoup plus sur Médiapart ), il s'agissait à mon sens d'un éclairage indispensable que j'aurais aussi apprécié dans le corps de l'article d'ASI ; la disparition prématurée d'un homme est toujours un drame et je peux en témoigner, ayant également perdu un proche d'un malaise cardiaque, mais quand il s'agit d'un homme public, il importe que les articles nécrologiques soient immédiatement honnêtes -
Hurluberlu
Félicitons Erik Izraelewicz d'avoir appliqué à lui-même, même contre sa volonté, les "réformes structurelles" (forcément nécessaires) qu'il n'a cessé toute sa carrière de promouvoir, notamment dernièrement à propos des Grecs. À force de préconiser le modèle allemand, il se l'est appliqué. Et force est de constater qu'il est salutaire: moins d'espérance de vie égale moins de retraites égale compétitivité pour notre économie.
Je suis cynique? oui, mais il ne l'était pas moins. Autant lui rendre hommage en appliquant ses méthodes. -
Al Ceste
Israelevicz a intérêt à faire un mort comme il faut.
Sinon Dreyfus and co sont capables de lui mettre la pression.
Quant au Monde, entre éloge du TINA et incompétence des webmestres, bof.
On peut comprendre que Télérama n'ait pas embouché les mêmes trompettes mielleuses que la bande des Quatre Fauderches (Bergé, Pigasse, Niel, Dreyfus) si on se souvient que son absorption par Le Monde de Colomabni a consisté en fait à un pillage financier.