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evemarie
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Cultive ton jardin
Et pendant ce temps là, on scrute nos pauvres frigos pour les accuser d'avoir laissé périmer trois yaourts et une botte de poireaux.
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Cultive ton jardin
Depuis que je fais mes achats alimentaires hors grande surface, dans un magasin de producteurs, je "découvre" la possibilité des ruptures de stock. Je voulais faire un gratin dauphinois... plus de crème. De la blanquette de veau? Va falloir me rabattre sur un pot-au feu. Faisselles de chèvre? Saisonnier, les chèvres préparent les futurs cabris. Je ne décide plus mes menus d'avance, je fais mes courses, et je vois après.
Les rayons toujours pleins... ben l'envers du décor, ce sont des masses d'invendus. Surproduire pour ne jamais manquer une vente, détruire pour ne pas devoir baisser les prix, c'est dans l'ordre.
Je veux bien imaginer qu'une nouvelle loi atténue le problème. Qu'elle le fasse disparaître? Impossible, il est "dans la nature" du système, comme dans l'histoire du scorpion sur la grenouille.
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MartinMartin
C'est hallucinant, alors qu'on est sans cesse culpabilisé par le cinéma des cop 21, 22, 23, 24... Amazon, la plus importante entreprise mondiale se permet de détruire ou d'imposer la destruction de marchandises neuves. Que ce soit rentable ou pas n'est pas le débat ou alors cette civilisation est foutue. Ce n'est même plus de l'obsolescence programmée, il faut être fou pour penser qu'on va continuer à polluer les sols et les océans sans prendre un retour de
bâton dans la figure.
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anneguiriec-010126 anneguiriec
Au sujet de la réponse un tantinet embarrassée de M6, on peut relire avec intérêt cette chronique de Plateau Télé sur son traitement du "Black Friday" chez Amazon...
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Ludovic Bostral
en contrepoint un article expliquant mieuxl'émergence de markeplace et le vesoin de rotation dans ces hangars https://www.minimachines.net/actu/amazon-le-grand-gachis-75009
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Jiemo
On offre , on offre , on offre et la fin on jette !
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DéLecteurdeVraiThé
étrange combinaison : une association lutte contre un problème, envisage la possibilité d'une loi, souffle l'idée de reportage au journaliste d'une télé puis tandis que l'émission se prépare va voir la ministre ou secrétaire d'état pour lui en toucher un mot, tandis que la télé invite cette ministre le jour de la diffusion et là effet d'annonce propagandaire vous sort le projet de loi en direct non sans verser une larme in live
Qui contrôle qui, qui télécommande qui, qui se sert de qui ?
Et quelle suite ensuite ?
Un exemple d'application de la loi : les produits alimentaires arrivés à échéance de la date limite de consommation doivent être mis à la disposition des gens dans le besoin. Eh bien certaines chaînes de supermarché qui ont chassés "l'arabe du coin" avec des contrats d'esclavage de leurs salariés déposent ces produits dans des locaux inaccessibles pour des raisons de sécurité. Et ces chaînes engrangent les aides gouvernementales avec l'aide du copain de Macron, Bernard Arnault
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Ke-sais-je
Rappelons que le PDG d'Amazon, à titre personnel, est contre le gâchis, et pour économiser au maximum.
Ces petites économies lui ont permis de mettre à l'abri un patrimoine de 140 Milliards de dollars ( Cent quarante milliards de dollars ).
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JeanneD
Ce type d'information avait déjà fait l'objet d'articles en Allemagne et en Suisse
https://m.lematin.ch/articles/5bf659e2ab5c37237a000001
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Vacinenkov
Je sais bien que mon prisme vis-à-vis du gouvernement est négatif et par ce fait que je parle à travers ce prisme, mais je redoute une loi finale non contraignante et si elle l'est un peu, sans les moyens humains nécessaires pour l'appliquer.
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Zap Pow613
Productivisme et consumérisme sont les deux mamelles du capitalisme. De la surproduction, on en connaît dans tous les domaines. Combien de fois a-t-on détruit des stocks de lait, par exemple ? Ou des surplus de fruits ? Dans un système économique où productivité est le maître-mot, il est plus rentable de produire en masse, et de détruire ensuite les surplus, d'autant que la destruction passe en pertes. Et on ne va tout de même pas donner, ou vendre à bas prix tous ces produits surnuméraires : ça tuerait le marché. Et le marché, c'est sacré, ça doit être soigné aux petits oignons.