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Crash Bandicoot
Est-ce que, par hasard, pour répondre à la conclusion de cet article, applicable également en France, il ne faudrait pas réviser cet article de la Constitution, qui dispose que
"Les propositions et amendements formulés par les membres du Parlement ne sont pas recevables lorsque leur adoption aurait pour conséquence soit une diminution des ressources publiques, soit la création ou l'aggravation d'une charge publique. " (art 40 de la Constitution française de 1958)
Cela permettrait d'abord une augmentation des dépenses publiques permettant à l'Etat de prospérer.
Ensuite, cela les propos justes de D.Schneidermann qui avait dit face à Todd chez Taddéi "Heureusement qu'il y a des dépenses sociales".
Enfin, la France pourrait accomplir sa mission qui lui revient de Droit à travers la mondialisation. -
Brenda Relax
Rentiers contre start-uppers, le match du siècle.
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Pince-mi sophiste de passage
L'Allemagne est un pays vieillissant dont la population stagne voire décroît légèrement.
Les allemands ont une révérence appuyée pour l'épargne et une méfiance tout aussi appuyée pour l'endettement. Le me mot (die Schuld) désigne le dette et la faute.
Comme en France, le système de retraite par répartition est montré du doigt et l'on encourage les allemands à avoir des retraites complémentaires par capitalisation donc par l'épargne.
Toute pression à la baisse sur les taux d'intérêt est donc très mal vue : cela encourage l'endettement et dévalorise l'épargne.
Bild Zeitung est un petit bijou de presse de caniveau.
Pas étonnant donc qu'il s'engouffre dans ce qui fera vendre du papier et des espaces publicitaires
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anneguiriec-010126 anneguiriec
Attention, Juliette, votre traduction du chapô de l'article du Handelsblatt est trompeuse, ce n'est pas "Le débat autour de la politique monétaire allemande" (l'Allemagne pas plus que la France ne peut avoir officiellement de politique monétaire, même si on se doute bien de ce qu'il en est...) mais "Le débat autour de la politique monétaire de la BCE".
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P3110K
La BCE, la FED et autres sont en train d'utiliser les armes qui conviennent à une "après crise"... Et ils n'ont pas vraiment le choix... La question est "quand la prochaine crise va arriver, qu'aurons nous à disposition pour la contrer ?"
Du côté des états, il aurait fallu profiter des taux négatifs pour investir massivement (par ex. dans le tournant écolo) au lieu de poursuivre une austérité qui va nous tuer...
Résultat : on va pleurer à chaudes larmes quand la crise va revenir... Le seul truc que NOUS puissions faire, c'est se tenir prêts quand les banquiers vont venir essayer de socialiser leurs pertes auprès de l'État et faire le siège de Bercy...
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tosh
plutôt apprenti sorcier que Dracula, les taux negatifs sur un duree longue c'est du jamais vu. terre inconnue