kiki22 26 décembre 2015 à 22:24
Hum un opportuniste de plus subventionné par l'oligarchie financière pour piquer les voix des gogos qui pensent qu'un libéral les aidera a échapper à la misère social ou économique...

Paddy 22 décembre 2015 à 22:36
Ce que les Espagnols ont vu surtout de Rivera et de son parti ces dernières semaines, et c'est peut-être une des raisons de leur relatif échec, c'est une campagne médiatique et friquée, guère différente de celle des deux grands partis dominants. Un jeune loup moins éloigné de la droite classique que Podemos ne l'est du PSOE. Rivera veut gouverner l'Espagne différemment. Pas comme le PP, à l'ancienne avec les pots de vin et les coups fourrés, pas comme une entreprise non plus, ça c'était bon pour Thatcher et Aznar. Mais comme une start-up, à la pub de laquelle l'affiche à poil (la deuxième) fait furieusement penser.

Bruanne 22 décembre 2015 à 21:22
Justine a écrit, à propos des photos nu : " tout en ne prenant pas trop de risques esthétiques : Rivera, ancien champion de natation, sait qu'il entre parfaitement dans les canons de la beauté masculine (version "jeune trentenaire énergique et soigné"). "

Sa remarque est vraie, mais... les journalistes étant ce qu'ils sont et le journalisme étant ce qu'il est, s'il n'avait pas posé nu, mais en costume,de nombreux journaux auraient ressorti des photos d'archives de lui en maillot de bain, où, à part son sexe ( caché ici par les mains croisées), on l'aurait de toutes façons vu aussi nu qu'il s'est montré là !

Je ne pense rien de précis de ce personnage, que je découvre dans cet article (intéressant, merci), mais en agissant ainsi il a évité que d'autres le fassent à sa place. C'est de la com' plutôt pas trop mal contrôlée je dirais.

Robert· 22 décembre 2015 à 20:24
"Mais c’est surtout Ciudadanos (« Citoyens »), autre nouveau venu dans le paysage politique espagnol, qui pourrait jouer les trouble-fête dimanche. Ce parti centriste au programme très libéral n’était autrefois cantonné qu’à la seule Catalogne, où il s’oppose aux indépendantistes, mais cherche désormais à jouer un rôle national. Lui aussi est conduit par un jeune et talentueux leader, Albert Rivera, 36 ans, juriste de son métier. Dans les derniers sondages, Ciuadadanos devance Podemos et talonne le Parti socialiste ouvrier espagnol (PSOE).'
Marianne vendredi 18 décembre !
Ciudadanos dans les choux ! Podemos presqu'au niveau du PSOE.
Répétez cent fois : Non! Les sondages ne cherchent pas à influencer l'opinion.