Affaire Aristophil : des autographes, des épargnants et PPDA

Sébastien Rochat - - 10 commentaires

Placé en garde à vue, l'ex-star de TF1 n'a pas été mis en examen

"Dans les titres de ce jeudi 26 novembre : un ancien présentateur de JT est sorti libre à l'issue de huit heures de garde à vue dans une affaire d'escroquerie présumée". Voilà une info que Patrick Poivre d'Arvor aurait pu donner quand il présentait le 20 heures de TF1. Sauf que cette fois-ci, c'est bien PPDA qui était entendu dans le cadre de l'enquête judiciaire sur Aristophil, société de placements financiers spécialisée dans les manuscrits. Le journaliste, qui n'a pas été mis en examen à l'issue de sa garde à vue, est soupçonné d'avoir perçu 400 000 euros, ainsi que plusieurs dons de manuscrits, d'un montant de 200 000 euros. Autant de fonds qui auraient été perdus pour les épargnants de la société Aristophil, mise en liquidation judiciaire.



Huit heures. C'est le temps qu'il a fallu à PPDA pour répondre aux questions des enquêteurs de la Brigade de répression de la délinquance économique (BRDE). Placé en garde à vue en marge d'une affaire d'escroquerie présumée, l'ex-présentateur a dû s'expliquer sur plusieurs mouvements de fonds suspects et de dons en nature, émanant de la société Aristophil, spécialisée dans le placement financier via des manuscrits rares.

C'est en mars 2015 que le nom de PPDA apparaît dans cette affaire, sous la plume du journaliste de L'Express, Jérôme Dupuis (qui avait déjà croisé la route de PPDA en r...

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