Accrocs sur Primark, génie du prêt-à-communiquer low cost

Sébastien Rochat - - 6 commentaires

Les "étiquettes SOS" détrôneront-elles le roi du buzz ?

C'est l'heure des soldes : pour trois petits fours, un stylo et un sac en tissus, l'Irlandais Primark s'assure une visibilité maximale sur les blogs de mode. Depuis décembre 2013, l'enseigne de vêtements à bas prix multiplie les ouvertures de magasins en France. Et pas besoin de publicité pour attirer les client(e)s : la presse et les blogueuses se chargent de la com'. Revers de l'étiquette : à force de proposer des prix toujours plus bas, l'enseigne, impliquée dans le drame du Rana Plaza au Bangladesh, est régulièrement accusée d'avoir recours à des sous-traitants peu regardants sur les conditions de travail.



Dans le centre commercial de Créteil-Soleil (Val-de-Marne), deux types de clients se croisaient dimanche 29 juin, jour de soldes : ceux qui portaient des sacs en papier "Primark", et les autres, minoritaires, qui s'interrogeaient sur l'origine de l'épidémie. Tous ces petits sacs en papier venaient de l'aile ouest de la grande surface.

Primark ? C'est une enseigne de vêtements à bas prix. Pour acheter des t-shirts à 3 euros ou des lunettes de soleil à 2 euros, il faut patienter dans des files d'attente de parc d'attraction. A l'entrée, pas de caddie mais des paniers à crabes très profonds censés accueillir les piles de vêtements pas chers que vous vous appr&e...

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