ASI Lite
  • Articles
  • Émissions
  • Chroniques
  • Connexion

Pour accéder à la totalité du contenu vous devez vous connecter avec vos identifiants à Arrêt sur Images.
Pour des raisons de sécurité cet accès est restreint pour le moment. Demandez la procédure à l'auteur, François.

  • tUyo 21 juin 2016 à 10:08
    Un autre éclairage sur l'article
    https://laplumedaliocha.wordpress.com/2016/06/19/la-mecanique-perverse-de-laffaire-kerviel/

  • admin 19 juin 2016 à 21:37
    "Le Monde bon joueur, Le Figaro mauvais perdant"
    Les lecteurs que nous sommes (plus) attendent peut-être (plus) des médias qu'ils ne soient ni joueurs, ni gagnants/perdants (quoi au fait?)
    Une pensée pour le journalisme indépendant...

  • Cultive ton jardin 19 juin 2016 à 10:05
    L'essentiel des leçons à tirer de cette histoire, c'est quand même que ça jette une drôle de lumière sur plusieurs aspects du fonctionnement des banques (ne me dites pas que la SG est une exception!) et des complicités qu'elles peuvent espérer obtenir à de très hauts niveaux. Certains d'entre nous n'avaient pas besoin de l'affaire Kerviel pour en être conscients, mais d'autres oui. Le cercle de ceux qui perdent leurs illusions s'élargit.
    Réduire ça à "pour ou contre Kerviel" est une ruse de dominant pour limiter les dégâts.
    Pendant qu'on s'empaille pour savoir si Kerviel est un méchant trader ou une pauvre victime (et pourquoi pas les deux, l'instrument qui a bien servi et a été rémunéré en conséquence, et qu'on jette aux ordures quand il a cessé d'être utile), on perd du temps par rapport au problème principal, celui de l'argent fou, et du pouvoir énorme (sur nos vies) qu'il donne à ceux qui en ont le contrôle.

  • Compte supprimé à la demande de l'utilisateur 18 juin 2016 à 23:53

    Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur

  • Yanne 18 juin 2016 à 23:50
    L'affaire est retombée.
    Quand la déflagration a eu lieu, c'était lors de la crise initiée par la chute de Lehman Brothers.
    Les grandes banques internationales étaient menacées de faillite.
    Si la SG mettait ses pertes dans les charges et produits, elle était elle-même menacée de faillite.
    L'"affaire Kerviel" lui permettait de mettre 5 milliards de pertes en charges exceptionnelles.
    Et pour la SG, ça aurait pu faire la différence entre la faillite ou la pérennité.

    Évidemment, ses dirigeants lui ont permis de vivre. Par la suite, il s'est révélé que ce n'était pas si grave, que les gouvernements allaient intervenir pour sauver leurs banques, à n'importe quelles conditions et quoi qu'elles aient fait.

    Donc maintenant, peu importe qui est responsable, le danger est passé.
    Allons, tout rentre dans l'ordre ! Kerviel a morflé, mais il avait fraudé.

    Le dieu argent est grand, et Kerviel est tout petit.
    Bien bête qui se bat pour tout ça, même médiatiquement, une simple ligne sur un bilan !


Dossiers - Thèmes - Auteurs

Ce site open-source affiche les contenus d'Arrêt sur images d'une manière optimisé sur mobile. Non affilié à Arrêt sur images. Créé par @francois2metz. Voici la documentation de l'API.