ASI Lite
  • Articles
  • Émissions
  • Chroniques
  • Connexion

Pour accéder à la totalité du contenu vous devez vous connecter avec vos identifiants à Arrêt sur Images.
Pour des raisons de sécurité cet accès est restreint pour le moment. Demandez la procédure à l'auteur, François.

  • Compte supprimé à la demande de l'utilisateur 21 décembre 2023 à 13:23

    Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur

  • Pat Hator 20 décembre 2020 à 17:21

    Autant j'ai un respect pour Ardisson, pour avoir un réel talent pour ses émissions et certaines trouvailles. 


    Autant le personnage est non seulement assez puant, mais fait preuve d'un machisme d'une autre époque (je ne me base pas que sur cet article). 


    Et lorsqu'il dit

    "À aucun moment je n'ai promis de couper la séquence, c'est d'ailleurs quelque chose que je n'ai jamais fait dans toute ma carrière. 


    Ce n'est peut être pas foncièrement faux, par contre il n'a aucun problème à couper des scènes lorsque ça l'arrange, et évidemment dans le sens de son intérêt (donc de son émission). 

    Le fait qu'il laisse quand même la scène est édifiant. 


    Son "Ah j'adore" est complètement indéfendable, et son argument (habituel) de "c'était une autre époque" est évidemment irrecevable. 

    Je ne sais d'ailleurs pas à quelle époque, même reculée, il a été acceptable d'avoir ce genre de réaction en face d'une victime présumée racontant un viol qu'elle aurait subi. 


  • Cobalt 60 16 décembre 2020 à 03:40

    Merci pour cet article.

    Le travail des média mainstream est d'être dans le présent et de gommer les mises en perspective, d'éviter les comparaisons gênantes. On le constate en ce moment au sujet des mouvements de contestations.

    Les manifestations étaient bien plus violentes dans les années 70-80, mais tout le monde l'a oublié. En gommant le passé, on fait croire que la norme serait que les conflits sociaux sont pacifiques et que la violence populaire date d'un temps reculé qui n'a plus cours. La population devrait donc tout encaisser et dire merci.

    Sous prétexte d'un prétendu ensauvagement de la société on nous sort ainsi des lois et des décrets de surveillance et de fichages.


    Tout ça pour dire que ce genre d'articles qui aident à ne pas oublier quels étaient les comportements, positifs ou négatifs, à une époque pas si lointaine sont toujours bienvenus.

    Merci à Arrêt sur Images.

  • JeNeSauraisVoir 14 décembre 2020 à 18:30

    Ce qui me semble le plus désespérant c'est de lire encore une fois  la même défense, la même esquive des inconsistants : c'est l'époque qui a changé et l'on ne doit attendre aucune contrition de leur part puisqu'il suivent toujours le sens du vent d'où qu'il vienne !

  • Ed 14 décembre 2020 à 11:59

    La réaction de Roger Hanin est au vu du contexte et de l'absence de réaction d'autres convives tout à  fait honorable. Le montage des émissions  de télé est dur à  lire... on ne peut deviner l'interruption provoquée par Jean-Michel Apatie ni dans les réactions ni dans le discours de la victime,Tristane Banon.

  • Nath 14 décembre 2020 à 11:06

    Quelqu'un qui s'y connaît en scénarisation d'émissions de télé me ferait-il la grâce de décrypter celle de l'émission 93 Faubourg St-Honoré insérée dans l'article ? 


    Perso, tout m'y parait soudainement obscène: le décor BCBG évoquant les bons salons d'antan où ceux qui comptent recevaient le "beau monde";

     

    Le choix des convives (chroniqueurs de plateau, pubar à Rollex qui a réussi sa vie avant 50 ans), pseudo-journalistes fils de et d'une culture du népotisme poussée à son paroxysme, se gavant élégamment de mets et vins fins, le tout, servi par des sous-fifres qui s'ignorent, habillés en laquais et fiers d'apparaître aux petits soins de l'élite attablée. 


    Tout est ici caricatural et nauséabond, y compris le langage d'Ardisson qui parle de "gonzesses, et même celui de Banon elle-même qui lui rajeunit l'argot en parlant, elle,  de "petites nanas", puis en décrivant l’obésité et l'âge avancé de l'assistante de DSK. 

     

    Et puis, cet instant glaçant, à la fin de la séquence où, tandis que Banon évoque et décrit la scène de la tentative de viol par un DSK en rut, les caméras s'attardent sur la poche à douille pâtissière qui truffe les petits fours en forme de trous d'une épaisse crème blanche. Je rêve ou tout ce que je pointe n'est pas le fruit d'un pur hasard , mais plutôt une construction? 



     

  • Compunet 14 décembre 2020 à 10:58

    Darmanin chef de la police de Macron, le monsieur qui vous promets des logements contre des fellations, à mon avis y a encore du boulot dans notre pays côté respect des femmes , voire des personnes ! que les merdias ne soient pas choquées et ne condamnent pas sa nomination par Macron ,  est choquant !!

  • tosh 14 décembre 2020 à 02:03

    triste époque dans laquelle je me retrouve , ma perception du patriarcat était pour le moins trouble faute de vraiment m’intéresser au sujet. notre rapport aux accusations de viol a bien change en 15 ans en partie grace a #meetoo et c'est tant mieux, j'aurais cependant bien du mal a jeter la pierre a tous ces invites vu le contexte et le ton de l’émission. On ne peut que se réjouir du chemin parcouru même si il y a encore du boulot et parfois comme l'a dit DS dans sa chronique quelques œufs casses au passage.



  • pierrounet 13 décembre 2020 à 17:07

    Pas étonné de (re)voir Pujadas en bon chien-chien...C'est sa posture favorite.

    Encore dernièrement, il nous a "offert" 2 entretiens face à Didier Raoult, et ça puait l'inquisiteur à plein nez : "Enfin, Professeur, allez-vous finir par reconnaitre vos torts insupportables, vous rendez-vous compte de vos erreurs?"


    A quelles injonctions obéissait-il, au juste? (On le connait pas trop en tant que journaliste médical...)

  • Asinaute sans pseudo c8961 13 décembre 2020 à 14:17

    La tentative d'Apathie de faire disparaître la séquence, s'apparente plus à une défense de DSK !  Une réaction tribale de partisan, ça n'a rien à voir avec une quelconque empathie envers la victime.

  • Max Médio 13 décembre 2020 à 01:30

    Cela fait une chose à regarder sur Netflix. Le reste est vraiment de la daube. Une collection de gros navets bien ringards et lourdingues. Il n'est peut-être pas fortuit qu'ils aient consacré un docu à DSK ?

  • LG240 13 décembre 2020 à 00:17

    Darmanin au gouvernement, Standing ovation pour Christophe Girard au conseil de Paris, refus de lever l'immunité parlementaire de Benoit Simian. RIEN n'a changé en France. DSK a simplement commis l'erreur de se comporter à New York comme à Paris. Il aurait continuer à violer français, il serait président de la République et Tristane Banon toujours au placard

  • Tristan Le Gall 12 décembre 2020 à 23:23

    Effectivement, elle a eu le tarot d'avoir raison trop tôt.


    Intéressante mise en perspective.

  • Compte supprimé à la demande de l'utilisateur 12 décembre 2020 à 19:10

    Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur

  • Mag 12 décembre 2020 à 17:49

    Personnellement je vois que le regard que porte une bonne partie des "convives" de ce dîner sur leurs réactions du moment (avec plus ou moins d'honnêteté) montre une certaine évolution de leur mentalité, quand même. En 10 ans, j'ai envie d'y voir quelque chose de positif: cette libération de la parole n'a pas été vaine, puisque quelques uns l'ont entendue.

  • Ouldyamin 12 décembre 2020 à 17:46

    Le récit de Tristane Banon de la réaction d'Apatie au dîner chez Ardisson est à l'honneur d'Apatie, mais pas d'Ardisson qui de plus semble bien mentir quand il dit ne pas avoir parler de couper :

    "D’abord , j'aimerais rendre justice à la seule personne qui ne rit pas du tout ce soir-là, Jean-Michel Apatie. Il a sans doute été à mes yeux l’un des tous premiers journalistes français à se comporter avant Me Too comme si l’on était après Me Too. Tout de suite, il a arrêté le tournage, il a dit «attendez, on arrête tout, on arrête les caméras», et il a dit «il y a deux possibilités : soit ce que Tristane nous raconte est vrai, auquel cas il faut que ce soit dit à une instance judiciaire compétente et cela n’a pas sa place dans une émission de divertissement, soit elle ment, auquel cas je ne veux pas qu’on puisse penser que je n’ai rien fait face à quelqu’un qui ment». Mais Thierry a dit qu’il ne fallait pas s'inquiéter, que ce passage serait sans doute coupé, ou que le nom serait bipé... "

  • abracadabra 12 décembre 2020 à 17:30

    Sans oublier le sous-titre en forme de question affichée pendant l'entretien avec Pujadas, pour bien manipuler tout le monde : "Une démarche sous influence ?"

  • bistouille 12 décembre 2020 à 16:11

    De quoi se souvenir aussi que David Pujadas avait été justement récompensé de la Laisse d'Or

    .

  • Ata Raxie 12 décembre 2020 à 13:54

    Avant, de loin, ils paraissaient, tous, très cons.


    Maintenant, de près, c'est une certitude absolue !

  • Pekebou 12 décembre 2020 à 13:18

    C'est bien un autre monde que vous décrivez là. De petits bourgeois hypocrites . Difficile d'avoir de l'empathie pour ces personnages. 


Dossiers - Thèmes - Auteurs

Ce site open-source affiche les contenus d'Arrêt sur images d'une manière optimisé sur mobile. Non affilié à Arrêt sur images. Créé par @francois2metz. Voici la documentation de l'API.