Booba, lanceur d'alerte : vraiment ?

Maurice Midena - - 75 commentaires

Un dossier de "Libération" un peu trop complaisant avec le rappeur devenu justicier

Le rappeur français a fait la Une de "Libération" le 29 juillet dernier. Le motif : ses attaques répétées contre des stars des réseaux sociaux, que le "Duc de Boulogne" accuse d'arnaques et autres escroqueries. Alors qu'il se positionne en "lanceur d'alerte", l'artiste est peu critiqué par "Libé", notamment sur son possible rôle dans le harcèlement que subit l'une des mises en cause, la papesse hexagonale de l'influence en ligne, Magali Berdah. Sans oublier que Booba est loin d'être le premier à révéler et combattre les mauvais agissements des influenceurs.

Après Irène Frachon et le Mediator ou Edward Snowden et la surveillance de masse, voilà qu'Élie Yaffa, 45 ans, mieux connu sous le nom de Booba, aimerait se faire une place dans la cour des "lanceurs d'alertes". Booba, le rappeur français (Boulibi, DKRKalash), catégorie bling bling et "hardcore" ("Montre en diamants, lunettes de soleil / Sors les Kalash' comme à Marseille / Ma question préférée : qu'est-ce que je vais faire de toute cette oseille ?") Celui qui est surnommé le "Duc de Boulogne" a fait le 29 juillet dernier la Une de Libération, avec ce titre : "Booba VS les influenceurs : arnaques, frime et putaclics". Il a le droit à une interview exclusive, dans un dossier qui contient également des révélations de Libérati...

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